En plein air

La lumière, imprévisible qui frappe les statues, n’échappe jamais au contrôle de la forme, mais au contraire elle se fond avec elle et devient clarté: sur les bronzes, sur les marbres, sur le bois et sur l’or des bijoux, précieuses miniatures monochromes. Il s’agit d’une clarté apaisante, qui cueille dans le mouvement l’acte péremptoire et le suspend en une interminable pause; qui ouvre l’âme à la méditation et suggère une compréhension muette au dialogue.

Texte critique de Gustavo Cuccini

Le grand hamac

Au balcon

Chevaux en course

Les Amazones

La fille aux cheveux roux

Les rêves de Martina

La « pizzica »

Martina après le bain

« La belle » de Cesena

Les équilibristes

La jument et le garçon

Place de la Vie

L’eau, source de beauté

Alice